Dogme :
La seule règle à laquelle je ne déroge pas, c'est qu'on ne coupe pas, on plie, c'est de l'origami quand-même ! Et tout est plié dans une seule feuille, évidemment.
Dimensions :
J'ai une forte préférence pour les pliages dans des dimensions avec des détails de l'ordre du centimètre, ce qui donne en général des feuilles de 30 à 100 cm, en fonction des modèles.
Papiers :
Mes papiers habituels comprennent :
J'aime de moins en moins le Kraft, qui sous mes doigts et malgré sa solidité donne souvent un rendu tout simplement moche puisqu'il froisse facilement et que les couleurs disponibles varient du caca d'oie au papier cadeau de la Tante Gertrude.
Les soi-disant papiers pour origami ("kami"), tout comme le papier pour imprimante, je ne rafolle pas, vous n'en trouverez pas souvent sur ce blog.
Couleur :
En général, c'est le modèle qui dicte le type de papier - pour les couleurs, tout est de ma faute par contre :). De temps en temps je modifie la couleur d'un papier avec de l'acrylique, en général avant le pliage, mais pas pour y dessiner des motifs qui ne seraient possible avec un papier bicolore.
Colle :
Comme beaucoup, j'utilise souvent de la colle (MC ou colle à bois diluée) pour préparer mes feuilles, ça les rend plus solide et allonge aussi la durée de vie des modèles; lorsqu'on humecte le papier pour lui donner une certaine forme, il arrive que les couches tiennent ensemble - je n'y vois pas d'inconvénient.
Certains modèles ne peuvent d'ailleurs être pliés sans coller, comme le Fugu de Sipho Mabona ou encore mon "Whomp", ils se déferaient avant qu'on arrive au bout ou ne tiendraient que quelques heures.
La seule règle à laquelle je ne déroge pas, c'est qu'on ne coupe pas, on plie, c'est de l'origami quand-même ! Et tout est plié dans une seule feuille, évidemment.
Dimensions :
J'ai une forte préférence pour les pliages dans des dimensions avec des détails de l'ordre du centimètre, ce qui donne en général des feuilles de 30 à 100 cm, en fonction des modèles.
Papiers :
Mes papiers habituels comprennent :
- la peau d'éléphant, très solide, dans des tons marbrés;
- le papier de soie en double couche contrecollées au méthylcellulose (MC);
- les papiers à longues fibres, comme l'unryu, l'origamido et plus récemment le lokta, souvent en double couche + MC;
- le sandwich, avec une couche d'aluminium ménager au centre.
J'aime de moins en moins le Kraft, qui sous mes doigts et malgré sa solidité donne souvent un rendu tout simplement moche puisqu'il froisse facilement et que les couleurs disponibles varient du caca d'oie au papier cadeau de la Tante Gertrude.
Les soi-disant papiers pour origami ("kami"), tout comme le papier pour imprimante, je ne rafolle pas, vous n'en trouverez pas souvent sur ce blog.
Couleur :
En général, c'est le modèle qui dicte le type de papier - pour les couleurs, tout est de ma faute par contre :). De temps en temps je modifie la couleur d'un papier avec de l'acrylique, en général avant le pliage, mais pas pour y dessiner des motifs qui ne seraient possible avec un papier bicolore.
Colle :
Comme beaucoup, j'utilise souvent de la colle (MC ou colle à bois diluée) pour préparer mes feuilles, ça les rend plus solide et allonge aussi la durée de vie des modèles; lorsqu'on humecte le papier pour lui donner une certaine forme, il arrive que les couches tiennent ensemble - je n'y vois pas d'inconvénient.
Certains modèles ne peuvent d'ailleurs être pliés sans coller, comme le Fugu de Sipho Mabona ou encore mon "Whomp", ils se déferaient avant qu'on arrive au bout ou ne tiendraient que quelques heures.